Ça, c’est quelque chose que je considère vraiment paradoxal… les foutus stationnements incitatifs qui ne sont pas assez grand pour accueillir tous les usagers. L’histoire de Paul, je l’ai moi aussi vécue… à quelques reprises… j’ai parfois rebroussé chemin, mais d’autres fois, je n’avais pas le choix…. Voici son histoire de contravention stationnement incitatif…
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Bonjour,
Je suis un usager du transport en commun et je stationne mon véhicule dans le stationnement incitatif de Chambly appartenant à l’AMT, i.e. stationnement sur un terrain privé. Je fais donc le trajet en autobus tous les jours entre la rive-sud de Montréal et le centre-ville de Montréal. Lorsque je me stationne, je bénéficie très souvent d’une des dernières places de stationnement disponibles. Lorsqu’il est plein, je vois régulièrement des gens se stationner le long des bordures de trottoir à l’intérieur du stationnement et ce, même si c’est clairement indiqué par une signalisation qu’il est interdit de se stationner à cet endroit. Je me disais que l’AMT doit sûrement être tolérante dans ce cas étant donné que c’est seulement quand le stationnement est plein que les gens prennent cette habitude. Sinon, que devraient-ils faire? Retournez à la maison? Appelez son employeur en disant “désolé mais je ne peux pas aller au travail aujourd’hui car il n’y avait plus de place de stationnement”. Je trouve cette situation dommage mais constituant tout de même un beau problème pour l’AMT qui se voit pris avec un service de plus en plus populaire. Bref, à la mi-décembre, ça été mon tour. Je suis arrivé 2 minutes trop tard et j’ai dû stationner mon véhicule le long de la bordure de trottoir. Qu’elle n’a pas été ma surprise le soir venu de constater que j’avais reçu un constat d’infraction émis par un agent de la paix. Le constat fait mention que je contrevenais à l’article 386 (codification 951) parce que mon véhicule était immobilisé à un endroit où le stationnement est interdit par une signalisation. Lorsque je regarde le code de la sécurité routière, l’article 1 mentionne que « Le présent code régit l’utilisation des véhicules sur les chemins publics et, dans les cas mentionnés, sur certains chemins et terrains privés ». Or, jamais dans l’article 386 on fait mention d’une telle inclusion. Est-il vrai que ce constat est facilement contestable sur la base que les policiers ne peuvent pas donner de contravention à l’égard de l’article 386 sur un terrain (stationnement) privé et ce, même à la demande du propriétaire du dis terrain? Est-ce que cette situation vous est déjà arrivée?
Merci,
Sylvain
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