Certains d’entre vous seront surpris d’apprendre que les forêts de l’Amazonie ne sont plus considérées comme tel !
En effet, plus de 70% des anciennes forêts Amazonienne sont maintenant converties en pâturages… c’est dorénavant le plancton des océans qui absorbe le plus de CO2. Oui oui, vous avez bien lu. Comme quoi nous avons toujours besoin d’un plus petit que soit.
La quantité phénoménale de planctons présents dans l’ensemble des océans a un plus grand impact que la forêt de l’Amazonie dans le combat conte le réchauffement planétaire. D’ailleurs, des études sont en cours afin de définir des façons d’améliorer l’efficacité du plancton. Principalement en augmentant la quantité de plancton. Mais comme pour toute autre chose, il faut bien prendre garde de ne pas perturber un équilibre de plus en plus précoce dans la chaîne alimentaire. Il est assez facile d’augmenter le développement du plancton en ajoutant, par exemple, de l’oxyde de fer dans l’eau. Par contre, nous n’en connaissons pas les effets secondaires à moyen terme.
La limite au combat du réchauffement climatique par l’utilisation accrue d’usine à plancton est, bien sûr, la localisation. En effet, le plancton présent dans les océans est bien souvent éloigné des côtes, alors que la pollution est bien présente au coeur des villes.
Laissons le temps aux chercheurs un moyen de concilier le tout sans effet pervers.
